Roses anciennes[modifier | modifier le code] Les roses anciennes sont généralement les cultivars datant d’avant 1867, dont beaucoup ont été perdues. Parmi celles qui sont encore cultivées figurent : • des « roses galliques » (Rosa gallica), surtout Officinalis et Cardinal de Richelieu ; • des « roses à cent feuilles » (Rosa centifolia)»16, surtout « pompon rose » (dit « Pompon de Meaux ») et « pompon rouge » (dit « Pompon de Bourgogne ») ; • des rosiers mousseux qui sont des mutations stériles de centifolia (ou de rosiers de Damas) comme Salet ou Mousseline ; • les « rosiers de Damas » (Rosa damascena), hybrides naturels apparus en Asie Mineure, de Rosa gallica × Rosa phoenicia, avec la Rose de Puteaux cultivée pour ses pétales séchés et la rose de Recht, très répandue en Angleterre17 ; • quelques « rosiers de Portland », comme Jacques Cartier ; • les « Noisettes », ou « thé noisette », surtout Gloire de Dijon, Rêve d’or et Madame Alfred Carrière ; • quelques « Bourbon » : Louise Odier et surtout Souvenir de la Malmaison ; • les « rosiers blancs » : Rosa ×alba, la rose d’York, Rosa alba semiplena, Cuisse de nymphe émue et Pompon blanc parfait.
La meilleure façon de ne pas avancer est de suivre une idée fixe (Jacques Prévert)